Kolwezi : Véronique Kilumba donne le coup d’envoi des activités commémoratives de la journée mondiale de lutte contre le SIDA

Le 1er décembre de chaque année, l’humanité commémore la journée mondiale de lutte contre le VIH-SIDA. En République Démocratique du Congo, la Vice-ministre de la Santé publique, Hygiène et Prévention, Véronique Kilumba Nkulu, a, au nom du Gouvernement central, lancé le 1er décembre 2022 à Kolwezi, chef-lieu de la province de Lualaba, les activités commémoratives de cette journée dédiée à la lutte contre cette pandémie, à travers toute la République.

Devant un parterre d’invités, personnalités et représentants des organisations internationales, la Vice-ministre Véronique Kilumba a, dans son discours d’ouverture, salué les efforts consentis notamment par le gouvernement congolais dans la riposte contre le VIH-SIDA, cela sous l’impulsion du Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo.

*”En ce jour où l’humanité entière célèbre la journée mondiale du SIDA, je salue les multiples efforts et sacrifices que nous ne cessons de consentir afin de battre pour repousser le VIH-SIDA loin de nous, selon la vision de son Excellence Monsieur Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, qui veut que tout citoyen congolais, même citoyen lambda, jusqu’au dernier kilomètre, ait accès aux soins de qualité, et particulièrement, dans la lutte contre le VIH-SIDA.
Ici, je voudrais donc vous rassurer, et surtout les personnes vivant avec le VIH, de la détermination et de l’engagement du Chef de l’État à pouvoir mettre tout en œuvre, afin que vous ayez les meilleures conditions de prise en charge et surtout de la prévention des nouvelles infections, et particulièrement la lutte contre le VIH pédiatrique”, a-t-elle dit dès l’entame de son allocution.

Ensuite, la Vice-ministre de la Santé publique, Hygiène et Prévention est revenu sur le contexte dans lequel se mène la lutte contre le VIH-SIDA en RDC, au regard de l’émergence d’autres pandémies et de la guerre d’agression dont fait face le pays.

La 2ème autorité politico-sanitaire de la RDC de rappeler la contribution de la République Démocratique du Congo dans la lutte contre ce fléau mondial. Selon elle, la République Démocratique du Congo a été l’un des pays pionniers dans la lutte contre le SIDA. Dès 1983, l’identification de 53 premiers cas de SIDA en RDC a permis au pays de saisir le taureau par les cornes en mettant plusieurs actions en riposte à ce fléau à travers le Projet SIDA, créé enn1984.
Depuis lors, des politiques et stratégies ont été mises en place au niveau national, tout en s’alignant sur les objectifs et stratégies mondiaux.

La situation actuelle de l’épidémie du SIDA en RDC montre qu’il y a plusieurs efforts mais les défis restent énormes. Ces défis sont notamment l’accès aux services de dépistage et de prévention du VIH, des traitements qui soient disponibles, conformes et de qualité, l’accès universel à la prise en charge pédiatrique, à la charge virale, la disponibilité des données permettant la production des informations stratégiques pour la prise de décision, la mobilisation des ressources domestiques ainsi que la fonctionnalité des organes et structures sectoriels dans le cadre de la multisectorialité de la riposte au SIDA à tous les niveaux.

Cellcom MinSanté

Kolwezi : Véronique Kilumba donne le coup d’envoi des activités commémoratives de la journée mondiale de lutte contre le SIDA

Le 1er décembre de chaque année, l’humanité commémore la journée mondiale de lutte contre le VIH-SIDA. En République Démocratique du Congo, la Vice-ministre de la Santé publique, Hygiène et Prévention, Véronique Kilumba Nkulu, a, au nom du Gouvernement central, lancé le 1er décembre 2022 à Kolwezi, chef-lieu de la province de Lualaba, les activités commémoratives de cette journée dédiée à la lutte contre cette pandémie, à travers toute la République.

Devant un parterre d’invités, personnalités et représentants des organisations internationales, la Vice-ministre Véronique Kilumba a, dans son discours d’ouverture, salué les efforts consentis notamment par le gouvernement congolais dans la riposte contre le VIH-SIDA, cela sous l’impulsion du Président de la République, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo.

*”En ce jour où l’humanité entière célèbre la journée mondiale du SIDA, je salue les multiples efforts et sacrifices que nous ne cessons de consentir afin de battre pour repousser le VIH-SIDA loin de nous, selon la vision de son Excellence Monsieur Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, qui veut que tout citoyen congolais, même citoyen lambda, jusqu’au dernier kilomètre, ait accès aux soins de qualité, et particulièrement, dans la lutte contre le VIH-SIDA.
Ici, je voudrais donc vous rassurer, et surtout les personnes vivant avec le VIH, de la détermination et de l’engagement du Chef de l’État à pouvoir mettre tout en œuvre, afin que vous ayez les meilleures conditions de prise en charge et surtout de la prévention des nouvelles infections, et particulièrement la lutte contre le VIH pédiatrique”, a-t-elle dit dès l’entame de son allocution.

Ensuite, la Vice-ministre de la Santé publique, Hygiène et Prévention est revenu sur le contexte dans lequel se mène la lutte contre le VIH-SIDA en RDC, au regard de l’émergence d’autres pandémies et de la guerre d’agression dont fait face le pays.

La 2ème autorité politico-sanitaire de la RDC de rappeler la contribution de la République Démocratique du Congo dans la lutte contre ce fléau mondial. Selon elle, la République Démocratique du Congo a été l’un des pays pionniers dans la lutte contre le SIDA. Dès 1983, l’identification de 53 premiers cas de SIDA en RDC a permis au pays de saisir le taureau par les cornes en mettant plusieurs actions en riposte à ce fléau à travers le Projet SIDA, créé enn1984.
Depuis lors, des politiques et stratégies ont été mises en place au niveau national, tout en s’alignant sur les objectifs et stratégies mondiaux.

La situation actuelle de l’épidémie du SIDA en RDC montre qu’il y a plusieurs efforts mais les défis restent énormes. Ces défis sont notamment l’accès aux services de dépistage et de prévention du VIH, des traitements qui soient disponibles, conformes et de qualité, l’accès universel à la prise en charge pédiatrique, à la charge virale, la disponibilité des données permettant la production des informations stratégiques pour la prise de décision, la mobilisation des ressources domestiques ainsi que la fonctionnalité des organes et structures sectoriels dans le cadre de la multisectorialité de la riposte au SIDA à tous les niveaux.

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