Likasi : Embouteillages sur les routes, Colonel Lydie Maloba sensibilise la PCR
Mettre en confiance les usagers de la route dans la ville de Likasi, tel est le mobile de la causerie qui a vécu entre le Colonel Lydie Maloba commissaire supérieur principal de la PNC/Likasi et les agents de la PCR.
Mardi 08 février 2022, une parade s’est tenue dans les installations de la police de circulation routière sous la conduite du commissaire supérieur principal de la PNC/Likasi, Colonel Lydie Maloba. C’est une causerie morale essentiellement basée sur le comportement à adopter pendant l’exécution du travail sur la voie publique par les éléments de la police de régulation de la circulation en vue de l’intervention prompte aux endroits qui le nécessitent.
“Si tu travailles bien, à 18h tu viens dire à ton chef je viens de terminer mon travail je rentre chez moi, où est le problème? Mais toi à 15h, tu rentres déjà voir ta femme ? Elle va se fatiguer de toi. Reste dans la rue c’est ça le but de votre uniforme et de vos casques sur la tête. Faîtes bien votre travail et Dieu va vous bénir”
a martelé le Colonel Lydie Maloba.
Travailler pour l’intérêt de la population en évitant la tracasserie et créer un climat de confiance dans chef des usagers de la route, sermon de la patronne de la police nationale congolaise à Likasi aux éléments de la PCR.
“J’ai voulu m’entretenir aujourd’hui avec la PCR en rapport avec la situation que traverse la ville de Likasi. Nous avons un problème avec nos routes. Bien sûr, ce problème ne concerne pas la police mais c’est un problème qui touche les autorités. Même si cela ne nous touche pas mais nous sommes obligés d’être là présent pour désengorger les routes quand il y a embouteillage. C’est le motif de cette causerie morale, conscientiser les éléments de la PCR pour mieux faire leur travail afin que la population de Likasi soit dans la la tranquillité”
a renchérit la patronne de la police à Likasi à la fin de cette parade.
Attentifs, tous ont été sensibilisés sur le principe sacrosaint avant qu’ils ne soient libérés pour rejoindre leur poste de travail.
Desk Politique | Asher Lungonzo
